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 On a sunday morning... #intriguen°2

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Charlie E. Harper

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Charlie E. Harper
YOU MAY STAY REVERENT !


potins : 1817
âge : 36 ans
statut civil : Mariée depuis le 6 Aout 2016 !
quartier : Kingston Grove
profession : Lieutenant de Police (Crim')
pseudonyme : Porcupine.
célébrité : Stana Katic
double compte : Non
copyright : stanakaticland. stanakaticbrasil. castlelounge. stana-katicfans. stana-for-always. drstanakatic. for-lovers-only. alwayswiththecoffee. katicisms. castlelover47. stanacatik. motley control. Phantasmagoria. RIDDLE. stanakaticdaily. eileen-kath-madley. Hotmess

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MessageSujet: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyMer 23 Jan - 23:00

Charlie & Charlie
Un dimanche ensoleillé, voilà comme je pouvais qualifier ce début de journée de janvier en me levant ce matin. Après tous les événements personnels qui étaient intervenus dans ma vie ces derniers temps et avec l'insistance de certaines personnes de mon entourage afin que je me change les idées, on m'avait fait part de cette journée " Discover & Protect " qui avait lieu sur le campus de l'université de Cougar Town. A cette occasion, les étudiants et enseignants partageaient divers projets, exposés et autres au sujet de l'environnement. C'était une cause très intéressante et puis pouvoir échanger avec des personnes concernées à propos d'une telle cause ne pouvait être qu'enrichissant.

J'avais donc pris une douche milieu de matinée, puis m'y étais rendue à vélo. Effectivement je ne prenais pas systématiquement ma voiture, j'avais opté pour un jour " car free " par semaine et le dimanche était idéal. Ainsi je l'avais laissé un peu à l'écart de la faculté puis me rendait sur la place principale du campus où énormément de monde était réuni. Il y avait divers stands, tous semblaient intéressant à mon goût. Pendant une bonne heure, je conversais donc avec tantôt des étudiants, des professeurs ou autres personnes étant venues participer à l'événement, c'était extrêmement enrichissant. Arrivée à un stand au sujet du développement durable, de l'écologie et réchauffement climatique, un élève répondant du nom de Sean Wilson m'informa de ce qu'il pouvait, puis la discussion m'apporta beaucoup. Je trouvais ça une bonne chose que tant de personnes se soucient du monde qui nous entoure. Le temps défilait vite alors qu'on discutait que je ne vis pas le temps passer. Puis il se devait de converser avec un enseignant de la fac pour une raison qui m'était inconnue, mais je préférais m'éclipser afin de les laisser entre eux.

Cela me faisait un drôle d'effet ce "retour sur les bancs de l'école" en étant à une faculté. Certes je n'étais pas plus âgée que cela mais ça remontait quand même cette époque estudiantine. J'entrepris donc de me balader encore entre les divers stands, puis je m'attardais sur une expo de photo prises par le club "photo" de la faculté. Elles étaient toutes extrêmement réussies, ils en avait du talent ces jeunes ! Etant une admiratrice de plein de formes d'art, j'aimais notamment la photographie. D'ailleurs pour une association de défense de l'environnement, les étudiants vendaient certaines photos et l'argent récolté était reversé à l'association en question. Une attira en particulier mon attention, celle de la mer aux environs de St Petersburg. Elle était apaisante cette photo. Pour non seulement faire une bonne action mais également me faire plaisir, j'annonçais donc à cette Lucy-Rose Coleman que je souhaitais acheter une de ses photos. Malheureusement une autre personne avait souhaité la même photo et elle était donc réservée.

Réfléchissant un instant, l'étudiante pensa aux doubles de certaines photos de l'expo, stockées dans la salle de reprographie au 2eme étage du bâtiment principal. Sa partenaire de stand s'occupait des autres personnes alors que la jeune Coleman et moi nous dirigions vers la salle en question. Il suffisait juste d'entrer dans le hall, faire quelques mètres, prendre les escaliers et puis quelques pas la pièce trouvait sur la gauche, il fallait un code pour ouvrir les salles du bâtiment, ainsi qu'un pass, chose qu'elle avait ce qui lui permit d'ouvrir la porte. Laissant la porte ouverte le temps qu'elle aille chercher dans le coin où étaient rangés délicatement les clichés, je regardais la pièce qui comportait des étagères avec de la paperasse, des cartons, une photocopieuse évidemment... c'était pas une très grande pièce, avec une fenêtre de taille moyenne (plus petite que la normale) au milieu du mur. Un peu curieux comme pièce. " Tenez, vous avez de la chance, je n'avais qu'une seule autre photo identique " m'annonça la demoiselle en me tendant le bien. Je lui donnais donc de la monnaie en échange et elle me suggéra d'autres stands. En regardant la photo, je pensais sans savoir pourquoi à ma mère qui aimait exactement ce genre d'images. Bon honnêtement je voulais le garder, donc demanda à la jeune fille s'il était possible de faire une photocopie. Elle me tapa volontiers le code sur la machine afin que je l'utilise et me laissa car devait retourner au stand.

La machine était bizarrement un peu lente à me faire une photocopie couleur parfaite, de longues secondes à vrai dire . J'espérais qu'habituellement ça ne prenait pas autant de temps pour les photocopies de cours puis alors que la photo copiée était presque terminée la machine s'arrêta. Evidemment je râlais donc en me traitant de malchanceuse et commençait à tapoter sur l'objet puis toucher quelques boutons. C'est à ce moment là qu'un coup de feu retentit, comme venant de l'extérieur.
Sur le moment, je ne m'y attendais évidemment pas donc mon réflexe fut de me baisser instinctivement puis j'entendais alors des cris. L'atmosphère avait changé à l'instant du tout au tout. Je regardais donc subitement vers l'extérieur par la fenêtre et vis les gens quitter les lieux rapidement, d'autres courir un peu dans tous les sens.
Puis il y avait comme un silence pesant. Ne pensant plus à ma photo dans le scanner, je décidais donc de sortir rapidement afin de voir ce qu'il se passait vraiment et me blâmais de ne pas avoir mon arme ou même ma plaque avec moi. Bien souvent même quand je ne travaillais pas il m'arrivait d'avoir l'un ou l'autre, c'était toujours utile en cas de situation imprévue.
Avec ma chance légendaire des derniers mois, il a fallut que la porte soit refermée et que je passe bien presque 30 secondes à tenter de l'ouvrir, à croire que tout était défaillant dans cette pièce !

Finalement je sortis donc et me précipitais dans les escaliers. Seule dans les couloirs, arrivant à peine à la dernière marche me permettant d'atteindre le rez-de-chaussé, je vis un étudiant. Je m'arrêtais donc, ignorant qu'il s'agissait de celui qui avait une arme, il avait un sweatshirt dans les bordeaux, les mains dans les poches, il semblait pas à son aise, transpirant... c'était compréhensible car les coup de feux avaient le don d'effrayer les gens. " Est-ce que ça va ?! " demandai-je soudainement, inquiète. " Vous n'êtes pas blessé ?! J'ai cru entendre un coup de feu dehors, qu'est-ce qu'il se passe ? " . Le jeune garçon n'osait pas vraiment parler, il ne paraissait vraiment pas bien, presque à avoir les jambes tremblantes, il réajustait alors la paire de lunette qui glissait sur son nez et quand je voulu m'approcher il recula alors d'un pas. Je ne savais que faire, entre sortir et rechercher l'auteur de l'émeute créée ou bien aider ce garçon qui était clairement perturbé par les événements. D'ailleurs il avait une voix un peu tremblante, hésitante " Il faut que j'appelle la police et les secours, vous auriez un portable, j'ai oublié le mien chez moi " dis-je alors. Bien sûr ce n'était pas une bonne idée que de faire ça, car ça allait contrarier les plans du jeune homme dont je n'avais pas encore connaissance. Peut-être vit-il là une issue de secours, le fait qu'il avait dans sa poche une arme, que je n'avais pas de téléphone et ne doutais pas encore de lui.... " Je...je ne l'ai pas avec moi mais vous pouvez utiliser le téléphone du bureau de l'administration " m'indiqua t-il d'une curieuse manière. Doutant pas suffisamment de lui, je fis donc confiance à ses paroles et suivait la direction qu'il m'indiquait, il fallait continuer le couloir sur plusieurs mètres, tout droit puis à gauche tourner. " Vous êtes certain que ça va bien ? Vous paraissez pâle...". Tout en marchant le "gamin" me répliquait par diverses excuses et tentait de faire lever toute potentielle suspicion à son égard afin de me tendre un piège pour ne plus m'avoir dans les pattes. Je crois que j'étais sur son chemin et qu'il fallait qu'il se débarrasse vite de moi. Puis juste au moment où je tournais à gauche, je vis mon voisin SWAT Charlie McPreston, que je n'avais pas vu depuis la visite de sa mère. " Qu'est-ce que tu fais là ?! demandai-je alors très surprise alors que le garçon juste derrière moi disait quasi simultanément " C'est qui lui ?! Vous n'êtes pas censé être là... aucun de vous deux d'ailleurs..." un peu nerveux. Il ne devait pas non plus s'attendre à une deuxième présence "de trop".
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Charlie McPreston

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potins : 1025
âge : 42 ans
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quartier : Kingston Grove
profession : Agent du Swat
pseudonyme : Emilie
célébrité : Alex O'Loughlin
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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyVen 25 Jan - 18:55

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Dimanche. Le premier dimanche de l'année où il n'était pas obligé d'aller travailler, ça ne voulait pas dire qu'il n'allait pas être appelé à aller bosser, mais il avait l'espoir. Ce n'était plus la période des braquages, les banques étaient fermés donc pas de prise d'otage... Il y croyait. Aussi fort que un et un font deux. Et c'est pour cela qu'il s'était prévu une petite journée de détente à la McPreston.
Charlie avait commencé la journée par une longue douche brulante. Il avait beau être une personne du matin, il avait parfois besoin d'un coup de pouce pour ouvrir les yeux. Surtout en ce moment avec Miss Harper qui venait quémander des câlins toutes les nuits aux alentours de trois ou quatre heure. Des câlins ? A cette heure là ? A chaque fois elle s'endormait à côté de lui et il grognait dans son sommeil pendant plusieurs minutes en se tortillant dans son lit. Heureusement que ça ne l'empêchait pas d'être effectif dans son boulot, car son chef n'aurait surement pas cru à l'excuse du chat câlin. La petite chatte resta d'ailleurs sur son lit lorsque l'agent du Swat partit faire son jogging. Il courait tous les jours, plus ou moins longtemps, car il aimait se maintenir en forme. Puis, il y trouvait un bon moyen de se dépenser. Car il avait énormément d'énergie. Beaucoup trop au gout de sa voisine qui devenait chèvre.
En parlant de la voisine. Depuis que celle ci avait du l'aider à faire face à la tornade Mama McPreston, leur relation s'était améliorée. Il avait gagné en maturité et elle semblait mieux accepter l'enfant vivant sur son palier. Il avait tenté de suivre ses conseils en appelant sa mère, mais celle ci faisait toujours un peu la gueule. Elle avait du mal à avaler la pilule et Charlie comprenait, alors il lui laissait du temps. Toutefois, il avait pu voir ce soir là, que la belle brunette vivant en face de chez lui avait un cœur. Qu'il ne craquait pas que pour un corps de rêve.
Sa séance de sport s'acheva et il reprit une douche avant de rejoindre sa cuisine. Il n'y avait rien de meilleur que quelques tranches d'ananas et un bon café en petit déjeuner. Le pauvre garçon eut à peine le temps de couper son ananas que son téléphone sonna. Et il savait que c'était le boulot, parce que la musique de Psychose retentissait dans son appartement.

« Des coups de feux ? Je suis sur place d'ici dix minutes. »

Le jeune homme se mit en route, rapide, affuté, mais organisé. Il se changea et partit en courant vers sa voiture. Malgré la proximité de l'université, ce fut le trafic qui le ralentit. Et lorsqu'il arriva ses collègues étaient déjà là, en train de se préparer dans le van qu'un d'entre eux avait conduit du poste. Ils le taquinèrent un peu de son retard alors qu'il enfilait son gilet pare balle. Il était connu pour être un chaud lapin, mais pas la nuit dernière... Non, une nuit en solo. Encore.
Charlie reprit rapidement la tête de son équipe alors qu'il finissait de s'équiper. Il voulait bien s'amuser, mais là il y avait urgences. Ils ne savaient pas ce qu'il se tramait à l'intérieur de l'université, s'il y avait des otages ou non, l'état d'esprit du suspect... Son rôle de leader l'amena à décider qui devait aller où, mais avant que ses hommes ne se séparent pour prendre place, un uniforme vint les voire pour leur faire une bref description du suspect. C'était toujours ça de pris, même si ce n'était pas encore assez.
Ils se séparèrent. Quelques uns devaient monter sur le toit, d'autre rester au poste de commandement, seul un collègue et lui devait se rendre au cœur même de l'université pour vérifier la situation niveau otage. Ils prirent chacun une aile et c'était parti. Charlie n'était plus Charlie. Il était Capitaine McPreston et le boulot était tout. Dans sa bulle, il avancé prudent et concentré, jusqu'à ce qu'il entende une voie familière. Il aurait pu la reconnaitre parmi toute. Celle de sa voisine. Celle pour qui il craquait. Il baissa son fusil et tout à coup, il la vit. Avec un homme qui répondait à la description du suspect.

« Qu'est-ce que tu fais là ?! »

Pendant une seconde, il avait eu un blanc. Parce qu'elle était avec le suspect, qu'elle marchait avec lui sans rien voir. Alors qu'elle était plutôt maline comme femme. Cet homme avait tous les tics d'un suspect. Détective ou pas la Miss Harper ?

« C'est qui lui ?! Vous n'êtes pas censé être là... aucun de vous deux d'ailleurs... »

Le jeune garçon s'agitait et tout d'un coup il sortit les mains des poches, une arme dans l'une d'elle. Charlie aurait pu attraper son fusil et l'abattre s'il n'y avait pas eu la brunette entre eux. Et il le savait pertinemment, c'est pour ça qu'il ne tenta même pas de toucher son bébé - son fusil -. Jusqu'à présent, il n'avait rien dit, il avait beau avoir gardé son sang froid, il essayait de trouver une solution, calculer la possibilité qu'un de ses hommes comprennent que quelque chose ne se passait pas correctement à l'intérieur du bâtiment. Mais rien et ça l'inquiétait légèrement. Sa radio grésilla. Pas à cause d'un de ses collègue, mais surement à cause des camions de presses qui arrivaient pour couvrir l'histoire. Le jeune homme se tendit un peu plus et demanda à l'agent du Swat de lui balancer son seul moyen de communication avec l'extérieur. Il n'eut d'autre choix que de le faire, car il tenait toujours e joue la brunette. Après l'avoir reçu, il la détruit. Une nouvelle demande arriva, cette fois pour son fusil. Charlie se baissa pour le poser au sol et le fit glisser avec délicatesse jusqu'au suspect. Il se sentait nu sans son arme, comme un bébé détaché de sa mère...
Ce qui se passa par la suite le surprit. Il se retrouva avec Charlie contre lui et un nouvel ordre. Celui de se menotter à elle. Ce n'était pas dans une situation comme celle ci qu'il avait rêvé de se retrouver menotter à elle. C'était beaucoup plus... Hors sujet. L'agent du Swat chercha dans les poches de son gilet pare balle sa paire de menotte et les passa, une autour du poignet de Charlie, une autour du sien. Et il serra. Pas trop fort, mais assez pour que ça les blesse. Il ne voulait pas que le suspect vienne près d'eux et les resserre si fort que ces dernières les coupent. La situation était déjà bien assez mauvaise comme ça.
Charlie regarda vers sa voisine. Il se voulait rassurant avec sa grande carrure, mais s'il avait tiré sans réfléchir à la femme que le jeune homme avait en otage, tout cela serait déjà fini. Il n'avait pas été assez - du tout - professionnel.

« Tout va bien se passer. Ils s'installent. »

Ce n'était que pour elle et elle aurait à deviner qui était les 'ils' en question. Les collègues du grand brun. Le suspect leur ordonna d'entrer dans une pièce sombre et il referma la porte derrière eux en la claquant. Ils étaient dans le noir et assez proche l'un de l'autre...

« J'aurais du tirer... Mais pourquoi t'étais là ? C'est pas ton boulot d'aller au devant de problème comme ça ! »

Dit il sur la défensive. Charlie n'était pas à l'aise dans le noir totale et il stressait un peu. Pas à cause de la situation, mais à cause du noir. Et il tâtait le mur dans l'espoir de trouver un interrupteur. En vint.
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Charlie E. Harper

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptySam 26 Jan - 12:25

Charlie & Charlie
Ce n'est qu'au moment où je croisai le chemin du SWAT vêtu qui plus est d'un gilet pare-balle que je compris ce qui clochait. Mais à la minute où le jeune homme derrière moi commençait à paniquer, je su qu'il s'agissait du responsable des coup de feux entendus précédemment.
Il était clairement perdu et déséquilibré, j'avais l'impression que c'était la première fois qu'il en venait à faire une chose pareille, le garçon au bout du rouleau qui cherche désespérément un remède. Deux choix s'offraient à moi, répliquer par une prise de combat, par surprise ou alors essayer de discuter avec lui, le calmer, le cerner avant qu'il ne fasse d'autre chose de grave qu'il pourrait regretter. Je me retournais donc lentement vers lui et vit son arme pointée sur moi, il donnait des ordres à Charlie McPreston afin de le couper de tout contact avec ses collègues. J'avais bien entendu compris ce que ce dernier m'indiquait... l'équipe était donc sur le coup. " Ecoutez, je suis certaine que vous n'êtes pas ce genre de personne... à manier une arme de la sorte et on peux vous aid..." je voulais évidemment lui apporter une aide, j'optais donc pour la solution "discussion" ce qui visiblement ne l'intéressait pas lorsqu'il m'ordonna de me taire car il devait réfléchir. Le jeune étudiant était en sueur, encore plus que quelques minutes auparavant et s'emparait des biens de l'officier jusqu'à ce qu'il perçut les menottes et qu'il nous imposa de nous attacher l'un à l'autre " Quoi ?! Vous savez ce n'est pas ça qui nous empêchera de faire quoique ce soit... je vous déconseille de..." cette fois-ci je fut interrompue par le bruit d'une menotte se refermant à mon poignet. J'y croyais pas, Charlie avait coopéré, pourquoi ? " Pourquoi tu l'écoutes ?! " m'écriai-je alors que le jeune garçon nous dit littéralement de la fermer. Il regardait sans doute un endroit où nous mettre à la dernière minute et devait être persuadé que les menottes empêcherait d'être efficace pour toute tentative de s'échapper. " Là-dedans, entrez-là ! " nous ordonna t-il en nous ouvrant une petite porte grâce à son pass. Nous nous exécutâmes alors et pénétrions dans la pièce étroite plongée dans l'obscurité totale et entendions la porte se refermer derrière nous et le bruit d'un verrou.
Super, je m'étais faite avoir comme une bleue. Je n'en revenais pas. Immobile, je faisais re-défiler dans ma tête ces derniers instants et me traitait de conne. C'est vrai quoi ! Il avait tous les signes d'un suspect et je le prenais pour une potentielle victime. A croire que les événements de ma vie avaient un effet sur la qualité de mes perceptions... mais j'avais peu dormi depuis quelques semaines et mon séjour à Los Angeles n'avait pas été des plus calmes non plus.
Les paroles de Charlie me sortirent de mes pensées. " Quoi comment ça pourquoi j'étais là ?! Figures-toi que j'étais à l'intérieur avant que le déséquilibré n'entre... et puis j'étais là comme n'importe qui, c'est la journée "Discover & Protect " je te signale... puis pourquoi j'ai à me justifier de toute façon ?! " dis-je d'un ton peu agréable. Nous étions tous deux un peu énervés je crois bien, mais je dois avouer que je m'en voulais plus qu'à lui pour nous avoir menottés. Le sentant bouger, je me devais de le suivre dans la petite pièce, me doutant de ce qu'il faisait mais je mettais peu du mien pour chercher un interrupteur. " Puis pourquoi l'avoir écouté aussi ?! On aurait très bien pu négocier... ou se débrouiller autrement mais là c'est pas très malin " râlais-je.
Je commençais tout juste à regretter de m'être levée ce matin... moi qui était restée bien souvent enfermée chez moi à presque déprimer ces derniers temps... aujourd'hui n'aurait pas du être différent. " Comment j'ai pu rater ça ... " me dis-je alors à voix basse " j'aurais du me douter qu'il avait une arme ou qu'il était plus louche qu'il ne paraissait... ". Je soupirai alors m'en voulant quand même de ne pas avoir réagit en amont. ça m'aurait évité d'être dans de beaux draps comme ça.
" S'il y avait un interrupteur ce serait logiquement près de la porte tu ne crois pas ? " dis-je avec un peu d'ironie étant donné que nous étions toujours plongés dans le noir depuis maintenant quelques brèves minutes. A moins que l'interrupteur ne se trouvait à l'extérieur... Tâtant de ma main "libre", je sentis comme une étagère en bois, et je manquais de peu de me cogner dans une autre " On doit être dans la réserve ou quelque chose comme ça "
dis-je alors un peu plus calmée..[/color]
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Charlie McPreston

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyDim 27 Jan - 16:01

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« Puis pourquoi l'avoir écouté aussi ?! On aurait très bien pu négocier... ou se débrouiller autrement mais là c'est pas très malin »
« Dis la femme qui avait une arme dans le dos et qui ne s'en rendait même pas compte. »

Charlie savait que sa voisine avait raison. Il aurait du raisonner le jeune homme qui avait pété un câble, mais il ne l'avait pas fait. Il avait perdu tous ses moyens en voyant la femme qu'il avait prit 'en otage'. Et il regrettait parce qu'il avait manqué à sa mission. C'était la première fois qu'il se plantait autant, même lorsqu'il était un rookie, il n'avait jamais agis comme ça. Bravo le capitaine de brigade. Même si les mots n'étaient pas son point fort et qu'il gérait mieux avec son fusil, il en aurait été capable. Il avait été formé pour ça. Et malgré tout, ce n'était pas sur lui qu'il envoyait sa colère, mais sur la brunette. C'était sa manière de dissimuler son stress croissant à cause du noir et sa déception envers lui même.

« S'il y avait un interrupteur ce serait logiquement près de la porte tu ne crois pas ? »

La phrase de la brunette le fit tilter. Elle avait totalement raison. Dans sa quête pour l'interrupteur, il avait oublié le point principal. Il arrêta de tâter les murs et se tourna vers l'endroit par où ils étaient arrivés pour y retourner. Oubliant qu'ils étaient menottés l'un à l'autre, il partit sans faire attention à elle et l'acier vint les blesser. Son visage fit la grimace une demi seconde avant qu'il n'atteigne la porte. Cette fois ci beaucoup plus méthodique, il se remit à chercher l'interrupteur.

« On doit être dans la réserve ou quelque chose comme ça. »
« Hum. »

Charlie n'eut pas le droit à une réponse plus longue, car il était extrêmement concentré pour trouver cet interrupteur. Cette peur du noir le pétrifiait totalement. Le rendait incapable d'agir comme agent du Swat. S'il avait eu la décence de s'équiper de son casque et de ses lunettes comme le protocole l'indiquait, il n'aurait pas eu ce problème ! Il aurait juste eu à faire descendre ses lunettes infrarouges sur ses yeux et il aurait arrêté de paniquer. Ce qui n'était pas le cas là. Mais heureusement pour lui, pour eux, il finit par trouver le bouton et appuya dessus. Une petite lumière clignota avant de s'allumer, laissant juste assez de puissance pour qu'ils puissent distinguer tout ce qu'il y avait autour d'eux.
La tension qu'il avait pu ressentir le quitta. Il put enfin respirer et lorsqu'il se passa une main sur sur le front, il put constater qu'il était en nage. Qu'il était brulant. Mais ce n'était pas le moment de se plaindre et de gémir. Il devait sortir de là pour aller aider son équipe à contenir ce suspect. Et pour le moment, deux problèmes se mettaient dans son chemin. Il était menotté à une autre personne et enfermé dans un débarras.

« Mon équipe est là, les uniformes sont en chemin, on ne va pas resté longtemps ici. »

Il ne savait pas qui il essayait de rassurer. Il n'était plus particulièrement tendu maintenant que la lumière était allumé, il était juste très agacé. L'agent du Swat aurait aimé être dehors pour pouvoir contrôler la situation. C'était bien un truc qu'il détestait ne pas être avoir un contrôle total. De ne pas pouvoir donner les ordres. Et le fait de ne pas assurer devant la Miss Harper c'était vraiment pas cool. C'était le pire en fait.
Charlie se mit à détacher son gilet pare balle avant de le retirer. Il fit un bruit sourd lorsqu'il tomba sur le sol. Une dizaine de kevlar en moins, ça faisait toujours du bien. Et il était beaucoup plus à l'aise pour regarder autour d'eux. Mais à part des produits d'entretiens, quelques balais et beaucoup de poussières, il n'y avait rien de bien intéressant. Rien pour ouvrir la porte.

« Des idées ? »

Demanda-t-il en faisant à nouveau un pas à l'opposé de sa voisine. Et encore une fois les menottes vinrent les blesser. Il n'était pas habitué à être menotté avec quelqu'un, pas avec celles de service en tout cas. Celles qui se trouvaient dans sa chambre étaient beaucoup plus confortables. Avec de la fourrure noire. Classique pour les petits jeux coquins avec ses différentes conquêtes. Des idées complètement tordues arrivèrent à l'esprit du jeune homme qui pendant l'espace de quelques secondes oublia complètement l'endroit où il se trouva.

« Ton poignet ça va ? »
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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyMar 29 Jan - 0:17

Charlie & Charlie
je levais les yeux au ciel alors qu'il me faisait voir la vérité en face. J'avais effectivement été aveugle face à cette évidence. Pourtant j'excellais dans mon métier, observer les gens, détecter les détails qui faisaient d'une victime un suspect, c'était mon truc. Et pourtant... le fait que nous nous retrouvions là était une preuve d'une erreur grotesque de ma part et je m'en voulais clairement.
Mais quelques instants plus tard, je cessais de me blâmer pour trouver une solution, un échappatoire. Le SWAT ne fut pas indifférent à ma remarque étant donné qu'il se dirigea à l'autre coin de la pièce. Mais par oubli de me prévenir de ce qu'il faisait il se déplaça donc d'un coup et les menottes ne me firent pas du bien. J'aimais pas cette sensation de perte de contrôle, d'entière liberté - tant que ce n'était pas voulu - et au moment où, de ma main libre je tâtais la pièce de métal autour de mon poignet, la lumière fut. Mon regard se posa donc immédiatement sur la source de luminosité qui était un peu faible. Mais ce n'était pas plus mal que d'être éblouis. " A mon avis ils se préoccupent davantage des victimes et de l'étudiant armé afin d'anticiper tout acte regrettable...". Je le regardais alors, sous entendant qu'ils seraient à mille lieux de penser à nous, dans le débarras. Puis mes collègues ne pourraient partir à ma recherche non plus. " Je crois que le temps qu'ils se manifestent, si jamais c'est avant l'an prochain, on va devoir se débrouiller nous-même" dis-je alors en regardant autour la petite pièce étroite. Nous étions donc comme je le supposais, dans une sorte de débarras où étaient stockés des produits ménagers du personnel de la faculté, des ramettes de papiers stockés, diverses fournitures scolaires....
"viens par ici" dis-je alors à Charlie afin qu'il avance avec moi vers l'une des étagères. Le fait que nous étions attaché nécessitait qu'on se prévienne de tout mouvement. Je fouillais alors de ma main disponible les cartons et boites de l'étagère devant moi "j'ai l'habitude "répondis-je à sa question. Puis réalisant que ma réponse pouvais paraître ambiguë, je le regardais soudainement et rectifiait le tir "" je veux dire.... on a vécu bien pire dans notre profession non ?! ". Je me référais clairement aux autres blessures ou gênes qu'on pouvait subir en exerçant notre boulot, ce qui était bien plus grave que les petites douleurs liées aux menottes. Puis tout au plus nous aurions un peu de rougeur autour du poignet... nous devions simplement faire attention et coordonner nos gestes. Le regardant encore je terminais par changer de sujet une fois que je trouvais une boite de trombones " voilà un petit coup de pouce qui ne serait pas de refus..." en même temps que de lui adresser la paroles, je lui montrais donc l'objet et indiquais en me dirigeant lentement vers la porte " c'est pas une bobby pin mais qui ne tente rien n'a rien ". Je dé-tordais donc le petit morceau de fer afin qu'il entre dans la serrure. " Comment ça va avec Mme.McPreston ?" demandai-je alors par simple curiosité. Je n'avais pas vu Charlie depuis ce soir là donc il était normal que je vérifie s'il avait suivi mes conseils ou au moins si la discussion avec sa mère était rétablie.
Pendant qu'il me parlais, je trifouillais la serrure mais les trombones n'étaient finalement pas une bonne solution. QUi plus est la porte était en plus verrouillée par un pass en plus de part une clef ce qui rendait la tâche bien plus difficile.
Le laissant toujours me parler je remettais l'objet dans la petite boite de rangement et continuais de regarder ce qui pourrait nous aider à sortir de là. "... et l'anniversaire de ton frère ? ". Qu'est-ce qui me prenait à m'intéresser à ces choses là ? C'est vrai qu'il s'agissait là de sa vie, dont je ne me préoccupais pas auparavant. Certes ça restait banal, une simple conversation que deux connaissances auraient... mais ça venait naturellement. Cela dit, un rien irait de travers et nous recommencerions à nous chamailler... c'était comme ça entre nous depuis le départ.
Alors qu'il me parlais, je continuais de faire deux choses en même temps, entre l'écouter et acquiescer ou ponctuer par des " Mmmh " et réfléchir à un échappatoire. Le temps qu'une solution efficace me vienne à l'esprit, j'avais une idée qui, on pouvait espérer, nous aiderais. Je pris donc un stylo dans un pot sur l'étagère et commença à écrire sur une feuille de papier.
" On n'entend vraiment plus rien, tu crois qu'il se passe quoi ? Tout le monde a évacué ? Que le gars est arrêté ? ". C'est vrai que nous n'avions pas entendu de coup de feu depuis un bon moment, qui plus est cette porte semblait très épaisse donc le son venant de l'extérieur était difficilement audible. Le mot était fini d'être écrit à l'instant, j'entreprit donc de me diriger de nouveau vers la porte..
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Charlie McPreston

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptySam 2 Fév - 14:17

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La lumière avait permis à l'atmosphère de se détendre un peu. Charlie avait repris son souffle et était à présent prêt à essayer de sortir de ce débarras. Sauf que ce fut sa voisine qui prit les devants. Elle lui demanda de la suivre et il la fit. Fouillant dans les boites les plus proches de celles qu'elle ouvrait, mais ce fut elle qui trouva les boites des trombones. Il profita de ce moment pré-concentration pour lui demander si les menottes ne la blessaient pas. Il s'en inquiétait parce qu'il savait que ça pouvait faire mal, il avait lui même un peu mal, mais il pouvait tirer ses vêtements pour faire barrière entre le métal et sa peau.

« J'ai l'habitude. »

L'agent du Swat faillit s'étouffer. Comment pouvait elle lui dire ça ? A lui en plus ! Directement son esprit tira des conclusions et malgré le fait qu'elle tente de se rattraper, il ne pouvait s'arrêter de l'imaginer menotté à son lit. La belle l'avait regardé pour se corriger, mais à peine avait elle tourné le dos qu'il posait une main sur sa bouche pour étouffer un petit cri et que ses yeux s'ouvraient en grand. Il n'en revenait pas. S'ils n'avaient pas été attaché, il aurait surement été s'enfermer quelques part pour sauter dans tous les sens et faire descendre l'excitation qu'elle avait fait grandir en lui.
La belle avait détordu le trombone et tirait à présent sur le bras de Charlie pour pouvoir essayer d'ouvrir la porte. Du coup, il fit le tour de la jeune femme et se laissa glisser contre la porte pour qu'elle puisse travailler plus effectivement. Il se taisait pour la laisse se concentrer. Et elle semblait être à fond sur ce qu'elle faisait. Du moins, jusqu'à ce qu'elle parle.

« Comment ça va avec Mme McPreston ? ... et l'anniversaire de ton frère ? »

Il releva les yeux vers elle, parce qu'il était un peu étonné qu'elle lui demande ça. Depuis le passage de sa mère, celle ci n'était plus venue le voir. Il n'avait pas cherché beaucoup plus loin, il avait travaillé beaucoup plus que d'habitude et s'était dit qu'elle avait peut être fait la même chose. Janvier, les bonnes résolutions des services de police... Mais maintenant qu'ils étaient là, il se dit que s'il pouvait lui raconter pour qu'elle pense à autre chose qu'à son travail, il le ferait.

« Je l'ai appelé. Elle est toujours en colère contre moi, mais ça passera. Elle me l'a elle même dit. Puis mon frère m'a appelé pour m'en parler. »

Charlie n'était pas descendu au Texas pour l'anniversaire de son frère. Son invitation avait été révoqué, mais il avait comprit pourquoi et n'avait pas tenté de faire une scène. Il savait qu'il devait laisser sa maman penser à tout ça et reparler lorsqu'ils en auraient envie tous les deux.
Le bel homme la voyait galérer. Il savait qu'elle ne pourrait pas ouvrir la porte avec ça et pourtant il l'avait laissé essayer. Maintenant qu'il voyait que les mains de la jeune femme tremblait à force de précision, il lui prit la main droite avec les siennes. La paume face au plafond avant de faire glisser ses pouces sur le centre de celle ci. Il y allait doucement, jusqu'à ce rendre compte de ce qu'il faisait. D'un coup, il cessa tout mouvement, se mit sur ses pieds et tira sa compagne de malheur debout. Il devait trouver quelques choses à faire pour ne pas se laisser à faire des gestes comme ça. Parce que bien que doux, c'était hautement inapproprié.
La belle prit à nouveau les devants en allant prendre un morceau de papier et un stylo. Elle se mit à écrire et il ne regarda pas pour ne pas envahir sa vie privé. En attendant il écoutait les bruits à l’extérieur. Il n'entendait rien et pour lui il était clair qu'il n'y avait pas eu d’assaut de lancer. Que personne n'avait été pour tiré sur quelqu'un... Du côté force de l'ordre comme du côté preneur d'otage. Charlie finit d'écrire et il la suivit vers la porte. Il profita d'enfin avoir cette position pour coller son oreille à la porte. Écouter les sons, les bruits, les voies, mais il n'y avait pas grand chose. Mais à cet instant il était rassuré. Il savait que ses hommes étaient à leurs places et que s'il n'était plus joignable, son sous officier prendrait sa place. Avant de chercher son corps. Ça allait être la marche de la honte de sortir de ce débarras devant ses collègues.

« On n'entend vraiment plus rien, tu crois qu'il se passe quoi ? Tout le monde a évacué ? Que le gars est arrêté ? »
« Hum. »

Répondit il comme elle l'avait fait un peu plus tôt. Il était concentré sur cette porte qui faisait barrière entre lui et ses hommes, son pouvoir. Il aurait du faire plus attention et il aurait pu si sa voisine n'avait pas été en travers de son chemin. Il avait beau avoir le béguin pour elle, il était un petit peu en colère contre cette faute qu'elle avait fait. Même loin du service on devait garder une vigilance accrue. Surtout de nos jours. Avec tout ce qu'il se passait dans le monde.
Charlie était très vigilant, voir trop. Il était prudent et même s'il était clown, farceur, jamais il ne prenait de risque pour le plaisir. S'amuser, se faire avoir des émotions fortes oui, mais se mettre en danger non. Ici, dans ce débarras, ils étaient en sécurité. Le jeune homme ne viendrait pas les rechercher. Mais ils avaient été en danger et tout avait commencé à cause d'une brunette peu vigilante.
Le jeune homme se tourna vers sa voisine et la regarda de la tête aux pieds, s'arrêtant sur la paire de menottes qui les reliait. Et dire que si ça s'était produit il y a quelques semaines, elle l'aurait probablement forcé à se couper la main pour retrouver son indépendance. En parlant de couper quelque chose. Ils devaient peut être commencer à songer à cette option. Il y avait peut être un objet qui pourrait couper leur lien. Pas une scie, mais un chalumeau, une peine pour acier... Ils étaient dans un débarras d'école, pas son garage finit il par se rappeler.

« Tu pourrais venir boire un verre au loft ce soir. Quand on nous aura retiré ces menottes et qu'on pourra sortir de là. »
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Charlie E. Harper

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âge : 36 ans
statut civil : Mariée depuis le 6 Aout 2016 !
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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyLun 4 Fév - 22:16

Charlie & Charlie
J'étais un peu peinée de savoir que sa mère lui en voulait. Les liens familiaux semblaient complexes dans cette famille des McPreston et ce que nous avions fait avait plutôt rajouté une couche. Si j'en avais eu conscience auparavant, je ne me serais pas lancée dans un tel mensonge. ça ne servait à rien d'empirer les choses mais maintenant c'était fait. Il savait bien mieux que moi comment gérer à présent la situation et en savait également davantage sur le caractère rancunier ou non de sa mère. Je ne souhaitais donc plus revenir là-dessus même si son frère l'avait visiblement contacté à ce sujet. Je me sentais déjà comme un vilain petit canard d'une famille sans même en faire partie. Je n'étais pas du genre à absolument vouloir que tout le monde m'apprécie, mais je trouvais dommage de se faire une idée des gens en ne les ayant vu qu'une fois. Bien que la première impression est souvent la bonne comme on dit si bien, il faut davantage connaître la personne à mon avis avant de se faire une idée. Et dans ma tête, l'idée que se faisait Mama McPreston à mon égard ainsi qu'à présent Donovan ne devait pas être des meilleures.
Me concentrant de nouveau je ne parvenais au bout d'un certain temps à force de précision à être efficace, je sentis alors la main chaude du Swat prendre la mienne qui décidait d'une sorte de massage afin de détendre ma main travailleuse. Le contact fut doux, quelque chose auquel je n'étais pas habituée et un silence s'imposa, mon regard se plantait dans le sien.

Après un raclement de gorge de ma part, j'avais décidé d'écrire un message sur un papier, ce qui était une autre solution. Finissant d'écrire ce que j'avais entrepris, nous nous dirigions de nouveau vers la porte et je décidais de faire glisser le papier sous la porte. Qui sait, c'était certainement idiot mais si quelqu'un passait dans les parages, il verrait le message appelant à l'aide indiquant où nous nous trouvions. " Espérons qu'un de tes gars passe dans les parages..." dis-je alors. Je savais que c'était un peu ridicule mais si ça nous donnait 1% de chance pour nous sortir de là, alors je tentais quand même le coup, ça ne coûtait rien.

Me redressant, je fus étonnée de l'invitation subite de mon voisin "... pour.... me remercier de nous sortir du pétrin ? " demandai-je alors légèrement amusée. La chose n'était pas encore faite puis je regardais les morceaux de ferrailles alors qu'il en parlait " C'est vrai que sans ces menottes ça serait bien plus pratique ". J'imaginais alors ces films d'horreur tels que SAW où l'une des personnes menottée se devait de se couper un bras ou une jambe pour le "bien de l'équipe". Mais je ne comptais nullement en venir à ce genre d'acte. Soupirant alors sans m'en rendre vraiment compte, je trouvais qu'il faisait chaud en plus dans ce débarras ! " Puis c'est pas pour en rajouter mais il fait un peu chaud aussi, on croirait étouffer ! " ajoutai-je en soulevant légèrement le bas de mon pull afin d'aérer. A vrai dire, je pensais même l'ôter, mais c'est vrai que menottée c'était un peu compliqué !

Puis en réfléchissant à ma propre phrase je répétai alors à haute voix " ventiler, de l'air, c'est ça ! ". Je regardais alors tout autour en hauteur sur les façades du mur tout comme vers le bas " Une grille d'aération ... c'est ça qu'il faudrait, tu la vois ? Il y en a forcément une ". Continuant à regarder un peu partout j'expliquais " de deux choses l'une, je me doute bien évidemment qu'étant attachés l'un à l'autre on ne pourrait pas y passer, mais avec un peu de chance, elle n'ouvre non pas sur une autre pièce mais l'extérieur du bâtiment afin de ventiler l'air depuis l'extérieur ...." je n'eus pas besoin de terminer mes propos que le voisin avait tout de suite cerné où je voulais en venir. S'il y avait un conduit alors on pourrait s'en servir "pour intensifier notre voix" ou bien y jeter des objets et s'il n'y en avait pas et que ça donnait directement sur l'extérieur, on nous entendrait forcément et en jetant ce qui nous passait sous la main, on attirerai ainsi l'attention... "là-haut dans le coin ! " dis-je soudainement l'ayant finalement repéré un peu derrière l'étagère. A présent il fallait y accéder, c'était une autre affaire... " Tu crois qu'elles sont solides ces étagères pour y escalader ? " je regardais alors Charlie. Clairement il nous fallait de toute façon trouver un moyen pour atteindre cette bouche d'air..
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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyMer 6 Fév - 19:47

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Quand ce n'était pas l'un, c'était l'autre qui ignorait. Mais pour le coup, ils n'étaient pas dans la mentalité de se prendre la tête, ils voulaient sortir. Tous les deux. Alors ils unissaient leurs forces, leurs connaissances pour trouver des solutions. Plus d'un côté que de l'autre, car le jeune homme avait une petite question qui lui trottait dans la tête. Il savait très bien que ce n'était pas le moment pour la poser et pourtant... Il la posa parce que sans ça il n'arriverait jamais à se concentrer sur son boulot.

« Pour.... me remercier de nous sortir du pétrin ? »
« Pour te remercier de m'avoir aidé quand ma mère était là. »

C'était fait, c'était dit, maintenant il pouvait se concentrer sur ce qu'ils avaient à faire pour se sortir de là. Charlie la suivit donc lorsqu'elle parla de chaleur, il ne faisait pas chaud, c'était surement le stress, mais elle avait raison. Le réseau de ventilation pourrait peut être leur permettre de se faire repérer et de communiquer avec l'extérieur.

« Une grille d'aération ... c'est ça qu'il faudrait, tu la vois ? Il y en a forcément une »

Les deux adultes se mirent à chercher consciencieusement la pièce afin de trouver une grille d'aération. Ce n'était pas une tâche facile, car il faisait très sombre, ils étaient attachés et le haut des étagères cachaient parfois le mur derrière celles ci. Mais la brunette finit tout de même par en repérer un, dans un coin, à moitié cachée par les cartons posés sur les étagères. Pour être franc, il ne l'aurait pas vu si elle n'avait pas été là, il aurait été obligé de foutre toutes les boites par terre.
Comme elle avait trouvé la grille, il trouvait juste que ce soit à elle d'y jeter un œil en premier. Mais la manière qu'elle voulait utiliser pour l'atteindre le fit sourire. Elle avait beau ne pas être bien lourde, les étagères ne paraissaient vraiment pas solide.

« Tu crois qu'elles sont solides ces étagères pour y escalader ? »
« Soit pas folle ! Elles ne supporteraient pas le poids d'un enfant. Tu vas me grimper dessus. »

Il y allait toujours en délicatesse... Mais il essaya d'oublier les autres connotations que ça pouvait avoir et se mit en tête de déplacer les meubles pour pouvoir faire la courte échelle à la jeune femme. Cependant, Charlie avait l'impression de perdre totalement l'usage de sa main menottée. Peur de tirer dessus, peur de faire mal à sa compagne d'infortune. Ce n'était vraiment pas l'idéal et pourtant. Il se faufila entre le mur et l'étagère qui leur bloquait le chemin et poussa. D'abord avec ses mains, puis son épaule la plus puissante, mais il finit par essayer avec ses jambes sans succès. C'était beaucoup trop lourd, même pour un homme comme lui alors il expliqua son nouveau plan à la brunette. Vider les étagères avant de réessayer et elle sembla du même avis car elle se mit à déblayer chaque étages du meuble avec rapidité. Ils réussirent à tout vider en quelques minutes et Charlie put réessayer. Cette fois ci, il eut un peu plus de chance, même s'il eut à s'y reprendre deux fois comme si tout était de plomb dans cette pièce. Comme la chaleur qui commençait à le gagner.
L'agent du Swat prit position, contre le mur, les genoux légèrement pliés pour qu'elle puisse y grimper et une main, libre, prête à l'aider en cas de déséquilibre. Les acrobaties, ça n'avait jamais été son truc lorsqu'il devait les partager avec quelqu'un d'autre, mais aujourd'hui, il n'avait pas le choix. Il devait assurer et du premier coup serait apprécié. Tendu comme un arc, il attira la brunette plus près de lui et lui offrit l'impulsion nécessaire pour qu'elle atteigne la grille. Sauf qu'en plus d'être mauvais pour les acrobaties à deux, il n'assurait vraiment pas en étant menotté. Le deuxième essai fut plus concluant et bien que leurs équilibres restent précaires, ils tenaient. Et Charlie put atteindre la grille de ventilation.

« Va falloir penser à manger en sortant d'ici... »

Dit il pour se changer les idées. Car porter la femme qui le faisait craquer n'était pas évident. C'était du corps à corps... Mais son poids pouvait faire une diversion acceptable pour son cerveau. Contrairement à tout ce qu'il y avait dans cette pièce, elle était légère et c'était étonnant car la belle avait des formes agréables et était loin d'avoir la peau sur les eaux. Ce devait être le manque de viande dans son régime alimentaire, à ne manger que des légumes gorgés d'eau, elle avait du perdre son poids... Ou il pensait juste cela parce qu'il était un amoureux de la viande, un carnivore primaire.

Charlie se concentra un peu sur ce que sa coéquipière faisait et remarqua qu'elle secouait la grille, comme si elle voulait la retirer mais que celle ci était bloquée. Alors il lâcha la main qu'il avait posé sur la hanche de la brunette et chercha dans ses poches ses clefs. Les clefs de chez lui. Il les avait déjà utilisé pour desserrer des vis, alors pourquoi pas aujourd'hui.

« Essaie avec ça. »

Il la laissa faire en silence, mais plus les minutes passaient, plus il sentait son bras menotté devenir lourd, des fourmis commençaient à le chatouiller et il sentait qu'il aurait besoin de le redescendre bientôt. Il prit sur lui et attendit que la jeune femme ai finit de retirer la grille pour lui demander de descendre. Il l'aida bien entendu, une bonne occasion de pouvoir la toucher sans se faire tuer.

« Le conduit donne sur quoi ? Extérieur ou intérieur ? On va devoir communiquer de manière intelligente, sans gêner l'opération en cours, je ne veux pas que mes hommes soient mis en danger à cause de nous. Alors pas de cris, de bruits... Tout en silence. »

Le jeune homme partit à la recherche de quelques choses qui pourraient les aider dans leur conquête de l'extérieur. Et trouva rapidement ce qu'il voulait, ou plutôt pensait pouvoir assembler pour les aider. Quelques balais et des trombones, du scotch, et d'autres bricoles. Le swat fabriqua une perche et y attacha des trombones qu'il entoura de post its de couleurs pour qu'ils soient repérés plus facilement. Atelier construction pour enfant en gros. Puis il retourna près de la grille. Toujours en hauteur. Et bien qu'il fasse confiance en sa coéquipière, il voulut voir par lui même. Belle erreur, car en sautant pour attraper le bord inférieur de l'aération en vue d'une traction pour avoir un petit coup d’œil à l'intérieur, il emporta la main de Charlie. La sienne arrachée vers le haut, et lui, vers le bas. Il grimaça en sentant l'acier lui mordre la peau, mais il n'osait même pas regarder la brunette qui avait du morfler bien plus que lui.

« Désolé, j'ai oublié que l'on était attaché. Tu vas devoir t'assurer que le conduit est bien dégagé et après je te passerais ça et tu essayeras de le faire aller jusqu'à dans le couloir. Quelqu'un finira par passer et nous ouvrir. »
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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyVen 8 Fév - 1:42

Charlie & Charlie
Regardant alors les étagères et bougeant l'extrémité d'une d'elle afin de tester de la solidité, je ne pus que comprendre qu'il me déconseillait de grimper. Qui plus est, si je grimpais, il devait faire de même étant donné que nous étions tous les deux menottés. Il ne fallait pas oublier ce détail encombrant. " Attends, quoi ?! Je ne suis pas membre du cirque du soleil je te signale " dis-je un peu surprise de sa suggestion. Cependant, il fallait admettre qu'il n'avait pas si tord que cela, c'était mission peut-être presque impossible mais pas irréalisable si nous étions organisés et synchronisés. " Bon de toute façon j'ai pas de meilleure idée pour l'instant, donc allons-y " me résignais-je avant de commencer à déblayer les étagères de ce qui rendait le mobilier encore plus lourd. C'est vrai que ça donnait chaud ce déménagement précipité. Mais nous parvenions finalement facilement à faire de la place. Vint alors le moment stratégique où il pris position afin que je puisse, une fois mes chaussures ôtées, monter sur ses épaules. " Tu le dis si tu ne peux plus supporter d'accord ?! " demandai-je alors ne faisant pas confiance à 200% à ses capacités pour me supporter. La première tentative fut peu concluante étant donné que ne sachant comment faire avec le poignet menotté, je me retrouvais presque tel un sac à patate sur son épaule. Evidemment je râlais mais nous donnions alors une deuxième chance à cette tentative et cette fois-ci, grâce à la force qu'il avait et la bonne détente que me permettaient mon élan et mes jambes, je parvins plus aisément à me retrouver debout sur ses épaules. Son bras sur lequel se trouvait les menottes était donc levé et me maintenait comme il pouvait et le mien était donc baissé afin de n'exercer aucune pression sur nos poignets au risque de nous blesser. Sa remarque quant à mon poids me fit esquisser un léger sourire, heureusement finalement que je ne faisais pas 3 fois mon poids actuel, auquel cas nous ne saurions pas parvenus à faire ces acrobaties.
Je ne dis cependant rien à ce sujet, concentrée pour essayer de voir comment la plaque était fixée, il me fallait un espèce de tournevis plat, et rapidement, avec perspicacité, le SWAT me tendis des clefs. " Pas bête, merci " dis-je alors en les saisissant. Là je pus donc décrocher la grille en lui disant de faire attention lorsque je la jetais au sol. Puis je regardais le conduit, il n'était pas trop profond et la lumière que je supposais, venir de l'extérieur m'éblouissait de loin. Je répondis donc à la question " Extérieur j'ai bien l'impression, tant mieux car je ne pense pas que le bâtiment soit occupé ". Afin de soulager ses épaules de ma charge, je lui prévenais donc que je re-descendais. Une fois face à lui je rétorquais suite à sa remarque sur l'opération en cours " Si on ne dit rien, je ne crois pas qu'on parviendra à attirer l'attention ... mais bon si tu le dis. Tu vois, moi au moins je sais parfois suivre des instructions... " dis-je alors pour lui faire remarquer qu'il ne m'écoutait pas, lui. Enfin, c'est vrai que j'avais du mal habituellement à me plier aux ordres, même des fois à ceux du capitaine Willows et je préférais faire les choses à ma manière.... mais là ça ne rendrait la situation que plus compliquée que de ne pas garder un certain silence et calme. Puis c'était les hommes de McPreston en place, et pas mon équipe donc c'était en quelque sorte le chef à cet instant. Si ça avait été ma team, j'aurais donné incontestablement les instructions. " Bon et comment comptes-tu attirer leur attention en silence ? Je crois en plus que ça donne accès sur le côté Est de la cour, donc où il y a encore moins de passage... " je me remémorais du plan du campus afin de m'assurer de ne pas dire de bêtise, mais normalement c'était bien le cas. Il me dit qu'il avait alors une idée et je le suivais, littéralement. L'atelier de bricolage pris place et McPreston était parvenu avec un peu de mon aide à confectionner une pseudo-perche.
Par contre, étant donné qu'il voulait avoir le contrôle des choses et "voir par lui même", le nigaud ne me prévins pas de ce qu'il fit et entrepris de sauter afin d'essayer de voir l'aération, ce qui tira sur nos bras et je ne pus m'empêcher de pousser un cri mélangeant surprise et douleur. Les menottes de flics, ce n'était vraiment pas un conforme et je crois que je serais écorchée au niveau du poignet, qui d'ailleurs commençait un peu à rougir à cause du frottement de l'acier. ça faisait tout sauf du bien. " sans blagues ! " dis-je un peu agressivement avec ironie en me passant l'autre main sur le poignet douloureux. " Je ne sais pas comment les suspects qu'on arrête supportent ces trucs, sérieusement c'est presque une torture, même le latex à côté c'est une vraie douceur " dis-je alors sans trop réfléchir. une fois de plus, mon affirmation pouvait avoir une connotation un peu douteuse, je voyais une fois de plus le regard de McPreston un peu ahuri se poser sur moi. Manquerait plus qu'il me visualise un fouet à la main alors je préférais me justifier une fois de plus " ...catwoman... j'ai déjà porté une tenue de catwoman pour un Halloween et c'était loin d'être la chose la plus confortable que j'ai portée, c'était une horreur tellement que ça me compressait et frottait sur la peau... ". Okay je crois qu'il ne valait mieux pas discuter davantage de cela car j'étais en train de perdre "mon partenaire ". Je regardais de nouveau vers l'aération et ajoutai " très bien, espérons que ça ne bloquera pas, prêts ? " demandai-je avant de remonter sur ses solides épaules. Une fois en haut, il me tendis alors l'objet bricolé et je le fis glisser dans la bouche d'aération. Je repensais alors à une chose au sujet de l'étudiant " ... et s'il use ton arme de service ? ". C'est vrai que l'arme appartenant donc à Charlie, si jamais un citoyen était tué à cause d'une balle de l'arme, le SWAT en aurait la responsabilité et irait eu devant de gros ennuis. Le laissant parler, je continuais alors à me concentrer sur la manipulation puis il me sembla que le bout du stick était au plus loin possible, normalement à l'extérieur. De toute façon je ne pouvais le faire aller plus loin car je tenais déjà l'extrémité du manche. " Et maintenant ? On attend qu'un poisson morde c'est ça ?! " dis-je alors peu convaincue. En plus j'avais toujours détesté la pêche. Laissant quelques secondes s'écouler avant de reprendre la parole, je posais alors une nouvelle question à l'homme qui se trouvait sous moi " T'as pas un moyen de communication habituellement avec tes hommes quand t'es sur le terrain ? Genre je ne sais pas... un sifflement particulier... quelque chose de discret mais en même temps qu'ils repèrent " . Je me disais que ça pourrait être bien utile et augmenterait nos chances d'être repérés. Il me tardait vraiment de sortir de là.
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Charlie McPreston

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyVen 8 Fév - 23:47

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« Si on ne dis rien, je ne crois pas qu'on parviendra à attirer l'attention ... mais bon si tu le dis. Tu vois, moi au moins je sais parfois suivre des instructions... »

Être coincé dans cette pièce avec Charlie, ça aurait pu être le meilleur moment de son année, mais non. Ils devaient réfléchir et ça ne pouvait pas se faire sans qu'elle finisse par l'attaquer. Ça arriva lorsqu'il lui donna la perche à glisser dans la grille d'aération. Il aurai du s'en douter... Elle était sarcastique et faisait allusion à son problème avec l'autorité. Énervante ? Non pas du tout... Le grand brun resta silencieux un long moment et ne répondit qu'à l'essentiel en la reposant au sol.

« On ne veut pas attirer l'attention de tout le monde. »

C'est vrai que pour le moment, dans leur situation, les seuls qu'ils voulaient appeler étaient les forces de l'ordre, pas le suspect. Sauf que ce dernier avait toujours une emprise totale sur toute l'université. Il avait le pouvoir. Il était maitre de la situation... Et c'était rageant pour Charlie qui détestait perdre le contrôle. Alors il tenta de le reprendre, mais ne réussit qu'à les blesser tous les deux. Les menottes. Sauf qu'elle parla de latex et cette fois ci, il oublia toutes les querelles. Il ne pouvait plus s'empêcher de regarder sa voisine en l'imaginant dans une combinaison moulante en latex avec deux oreilles pointues de chat. Waouh, c'était dingue comment son imagination pouvait être développée quand il le voulait. Mécaniquement, il la souleva à nouveau et lui donna la perche, mais son esprit restait ailleurs. Ses mains sur les cuisses musclées de la belle, ne pouvait que rêver de lui enlever une tenue de latex. Cependant, elle réussit à le faire redescendre d'un coup en parlant de son arme. Loin de la tenue de latex... Son arme c'était comme son enfant. Il y tenait, la chérissait. S'il ne la tenait pas dans ses bras pendant une journée, il était malheureux. Au boulot, ils n'avaient pas tous les jours des actions à faire, alors tous ses hommes et lui prenaient très soin de leurs armes. Ils les nettoyaient, les utilisaient au stand de tir, les chérissaient...

« ... et s'il use ton arme de service ? »
« Je sortirai de là et j'irais le descendre moi même. »

Personne à part lui ne devait utiliser son arme. Et si vraiment arriver, et que ce n'était pas un collègue, Charlie irait tuer à main nu l'abruti qui aurait fait ça. Ce n'était même pas le fait d'être en danger vis à vis de la loi qui l'inquiétait, mais plutôt de perdre son bébé. Mais de toute façon dans une situation comme celle ci où le suspect lui avait pris son arme sous l'emprise d'une autre arme, il ne serait pas vraiment inquiété par la justice. Il fallait sauver les otages, en particulier lorsqu'elle faisait des forces de l'ordre. Puis, son bébé était un bijou de technologie moderne, alors il allait être dur pour un jeunot de s'en servir efficacement.
L'agent du Swat reposa la jeune femme sur le sol et lui demanda de le suivre. Il voulait regarder tout ce qu'il y avait dans les cartons, les bidons et les boites. Ils avaient déjà un peu vu, mais une idée était en train de naitre en lui. Seulement elle l'arrêta avec ses mots et il se tourna vers elle avec un air qui disait 'tu crois que je l'aurais pas utilisé avant si j'en avais eu un'.

« T'as pas un moyen de communication habituellement avec tes hommes quand t'es sur le terrain ? Genre je ne sais pas... un sifflement particulier... quelque chose de discret mais en même temps qu'ils repèrent. »

Un sifflement ? Vraiment ? comme un animal. Pourquoi pas un hurlement comme les loups... Mais à l'entendre, un peu naïve pour une fois, il préféra le prendre avec un sourire.

« On n'est pas des animaux, on utilise une radio, mais l'autre abruti à détruit la mienne. »

Charlie qui avait cet idée, emmena la jeune femme près des bidons qui contenaient des produits chimiques. Surement pour les cours de chimie. Bon il n'était pas un pro dans le domaine, mais il pouvait se débrouiller. Non ?

« Je pourrais faire une bombe pour faire sauter la porte. »

Avec les produits qui étaient là et les restes qu'il avait de ces cours avec les agents chargés des bombes, il pourrait en faire une. Mais il avait un peu peur de ne pas pouvoir contrôler l'explosion et que ça se retourne contre eux. Sauf qu'il en avait assez d'être là et qu'il voulait avant tout sortir. C'était à essayer. Prenant les choses qui l'intéressaient, il tenta déjà avec des petites quantités. Et il manqua de se faire exploser les doigts. D'un coup, il comprit qu'il jouait dans la cour des grands et qu'il allait prendre des risques. Et pas que lui. Alors il se pencha au sol pour reprendre son gilet pare balle.

« Mets ça. »

En fait, il le lui mit et serra au maximum. Il était un poil plus grand qu'elle alors il avait peur que ça ne sert à rien s'il ne serrait pas. Et pour le coup, il refusait de porter son gilet parce que c'était lui qui voulait faire le con pour essayer de sortir au lieu d'attendre. Cette fois, en version plus grande, il dessina un plan dans la poussière avant de regarder sa compagne. Avant de faire quoi que se soit, ils allaient devoir bouger toutes les armoires pour faire une barrière de protection. Les vider, les bouger et les remplir à nouveau... Et c'est ce qu'ils firent. Doucement, mais surement, prenant leurs temps et en unissant leurs forces. Cependant, la suite, c'était plus dangereux et il aurait préféré être détaché de la belle... En plus, pour le coup, il n'allait pas être discret.

« Si ça tourne mal, tu prendras soin de Miss Harper ? »

Il n'était pas sérieux, il espérait que ça ne se passe pas mal et si vraiment, Miss Harper finirait au Texas. Pour le moment, il refusait d'être négatif. Il devait être très concentré et ne pas faire d'erreur. Alors il plaça le bidon près de la porte, un peu penché avant de prendre l'autre et d'aller derrière les étagères avec Charlie.

« A trois je balance et tu te baisses ! »

Sa voie donnait un ordre et il n'attendait pas d'elle qu'elle réponde. Il compta balança le bidon sur l'autre et alla mettre son corps sur/contre sur celui de sa collègue. L'explosion fut énorme lorsque les deux produits entrèrent en contact. Un énorme boum. Les étagères tombèrent une à une comme des dominos jusqu'à ce retrouver penchées contre les murs. Le blast l'avait laissé douloureux, surement à cause des nombreux objets qui avaient été projeté sur eux. Il avait même un trombone planté dans son tee shirt... Dans son gras de hanche. Charlie passa une main sur les cheveux doux de sa belle, s'assurant qu'elle n'avait rien avant de se tourner vers la porte pour voir si ça avait fonctionné. Mais à part un énorme trou dans le sol, la porte n'avait pas bougé...

« Merde ! Non Non Non ! »
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Charlie E. Harper

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potins : 1817
âge : 36 ans
statut civil : Mariée depuis le 6 Aout 2016 !
quartier : Kingston Grove
profession : Lieutenant de Police (Crim')
pseudonyme : Porcupine.
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double compte : Non
copyright : stanakaticland. stanakaticbrasil. castlelounge. stana-katicfans. stana-for-always. drstanakatic. for-lovers-only. alwayswiththecoffee. katicisms. castlelover47. stanacatik. motley control. Phantasmagoria. RIDDLE. stanakaticdaily. eileen-kath-madley. Hotmess

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptySam 9 Fév - 12:43

Charlie & Charlie
Etre enfermée dans une pièce comme ce débarras commençais sérieusement à peser, j'en avais assez. Puis je crois que par moments, bien que nous collaborions dans une même démarche avec Charlie, il y avait quand même quelques petites tensions. Je ne pouvais m'empêcher d'être un peu ironique, sarcastique... c'était pas bien méchant mais inné à son égard. Il n'avait pas tort, il ne fallait pas attirer toute l'attention ceci dit, je pensais qu'on était le dernier des soucis de l'étudiant armé.
Alors que je lui posais une question quant à son arme, le SWAT me répondit avec sérieux, visiblement on ne rigolait pas avec son bien. Ce qui était inquiétant je trouve était plutôt qu'une autre personne soit blessée avec voire tuée. Puis toute charge pèserait sur le SWAT si aucune preuve ne pouvait être valablement apportée.
Quant au signe semi-discret, vu l'intonation avec laquelle le voisin me répondit, j'avais bien l'impression que c'était sot comme suggestion et pourtant pas tant que ça ! Enfin, surtout lorsqu'on se trouvait dans le milieu naturel. Pour ma part, quelque chose de bien utile dont j'avais connaissance était le langage de signes. Mais pour ça il fallait être dans le champs de vision des autres. En l'occurrence ça n'aurait pas été utile. Étant donné sa comparaison, je ne pu résister à lui faire une petite remarque sur le ton de l'humour " Le genre humain est plus sauvage qu'on ne le croit...". Me plongeant presque dans mes pensées, Charlie m'en sortie en évoquant une idée peu commune. "Un explosif ? Et ça c'est plus discret bien sûr... seuls tes gars entendront". C'est vrai quoi ! Niveau discrétion pour n'attirer que l'attention de certaines personnes, ce n'était clairement pas la meilleure solution, mais je laissais passer. Puis c'était mieux que de ne rien faire pour réussir potentiellement à quitter le débarras. " Il y a tout ce qu'il faut ici ? " c'était avec intérêt que je demandais ça, je ne prenais pas cela à la légère. Puis j'étais confiante d'un certain côté. J'eus peu de temps pour discuter pour mettre ou non le gilet. Il n'y en avait qu'un et il décidai de me protéger d'abord. Je n'étais pas une fillette, mais le fait qu'il se montre responsable et attentionné me fis donc accepter d'obéir à ce nouvel ordre. Une fois d'accord nous déplaçâmes tous les mobiliers de la pièce, les fournitures. J'esquissais un sourire quand il me parla du chaton. Sérieusement ?! ça m'étonnait qu'il dise une pareille chose, d'autant que ce qu'on allait faire ne me semblait pas plus risqué que cela. Mais histoire d'entrer dans le jeu et de le rassurer je répondis quand même " Tu me demandes ça à moi ? " c'est vrai que n'aimant pas les chats, j'étais la mauvaise personne à qui demander une telle faveur, ceci dit j'ajoutais " Mais oui ne t'en fais pas... on se lance ? " l'interrogeais-je en changeant de sujet.
Les actions s'enchaînèrent vite, au contact des deux bidons, un brouhaha se fit entendre et les étagères à cause du souffle et des vibrations tombèrent. Notre rempart de protection s'effondrait en heurtant les parois murales. Ce qui se trouvait sur les étagères volait en éclat dans la pièce et ce fus rapidement un désordre incommensurable. Il s'était mis un peu sur moi afin de me protéger de tout projectile, je n'avais donc rien. La résonance dans les oreilles ne fit pas du bien pendant quelques secondes, il y avait comme un bruit "sourd" qui raisonnait, mais ça passa. " ça va toi ? " demandais-je avant de remarquer qu'il était déjà focalisé sur le trou au sol...et la porte toujours intacte. " Visiblement la chimie n'était pas ton fort !". il ne fallait pas prendre tout ça au sérieux... c'était un échec mais pas grave non plus. Alors qu'il ôtait un trombone qui s'était planté dans sa chair lors de l'explosion, je regardais afin d'avoir une idée de la gravité de la blessure mais visiblement c'était rien. puis ce n'était pas ça qui allait l'arrêter. Dans notre profession nous avions vécu des choses bien plus risquées ou douloureuses. " C'est hallucinant tout est sans dessus-dessous mais la porte n'ait pas bougé d'un poil" dis-je alors en regardant le trou au sol une fois avoir évité de marcher sur tous les objets répandus sur le sol. Voyant une déception dans le regard de Charlie j'ajoutais " Eh, ça ne fait rien ! Puis là je pense qu'on aura vraiment attiré l'attention, avec le conduit d'aération le son a certainement fait écho, ce n'est qu'une question de minutes avant qu'on ne sorte d'ici ". Après le boucan que nous venions de faire, un court moment de silence s'imposa jusqu'à ce que nous entendions un nouveau coup de feu. Par réflexe je regarda immédiatement d'où il venait, puis il y avait trois hypothèses, une nouvelle victime blessée, l'étudiant s'était fait tiré dessus ou suicidé. Enfin, ma pensée première vint pour de possibles otages " ça venait de l'intérieur du bâtiment ou l'extérieur ?" j'essayais de savoir en réfléchissant aux quelques secondes précédentes " Et s'il y avait des otages ? J'espère que personne n'est blessé ou pire". Bon c'en était assez, je commençais à perdre patience et comme nous étions pas loin de la porte je me mis alors, de ma main libre à tambouriner et crier en signalant notre position pour que quelqu'un vienne. De toute façon, au point où on en était, faire du bruit ne dérangeais plus.
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Charlie McPreston

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptySam 9 Fév - 15:58

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« Visiblement la chimie n'était pas ton fort ! »

Bon, la bombe n'avait pas fonctionné, mais elle était dure avec lui. Il avait essayé de la sortir de là et en retour elle était sarcastique. Elle semblait être à bout et d'avoir besoin d'un souffre douleur. Il se laissait faire en silence pour ne pas envenimer les choses. Elle vint quand même remettre son doigt pour appuyer là où sa faisait mal.

« C'est hallucinant tout est sans dessus-dessous mais la porte n'ait pas bougé d'un poil. »
« On a comprit, ça n'a pas fonctionné ! »

Charlie avait haussé le ton car ça commençait à lui peser aussi cette situation. Le fait d'être enfermé. Avec elle et qu'elle soit pire qu'une vipère. Ce n'était peut être pas la bonne pèriode du mois pour elle, les hormones lui jouaient des tours. Il n'en savait rien, mais il n'aimait pas. Il prenait ses distances jusqu'à ce qu'il entende un coup de feu. Un unique qui le fit se figer.

« Ça venait de l'intérieur du bâtiment ou l'extérieur ? Et s'il y avait des otages ? J'espère que personne n'est blessé ou pire. »

Et si le jeune homme avait des otages et qu'il en avait descendu un parce que Charlie lui avait fait peur avec cette bombe. Et s'il y avait un mort à cause de lui. Il n'était pas prêt à avoir ça sur la conscience alors il entra dans un mutisme complet et laissa la brunette hurler et frapper sur la porte. Au moins là, elle n'était pas désagréable avec lui. Et il pouvait s'isoler dans sa bulle pour penser à tous les 'et si'. Elle était tellement dans son truc qu'elle n'entendit pas les pas précipités venant vers eux, alors heureusement qu'il écoutait un peu, parce qu'elle se serait mangée une porte en pleine poire. Il la bougea alors que de son collègue annonçait qu'il allait enfoncer la porte et sans attendre il le fit. Mais à peine dehors que Charlie allait voir le petit jeunot de son équipe, le nouveau.

« Tu dois attendre ! Tu t'annonces, tu attends et tu défonces seulement après ! »

Le jeunot eut droit à la colère qui aurait du atterrir sur la brunette. Il eut tellement peur qu'il n'osa rien dire face au fait que son patron était enfermé avec la plus belle brunette du département. Même les autres qui étaient là n'osèrent pas ouvrir leurs bouches. Pourtant les Charlie c'était un ensemble très bien connu au sein des Swat, le jeune homme parlait souvent de sa voisine. Voyant que le monde s'était arrêté à cause de son mauvais caractère, de son humeur terrible, il partit lui même chercher des clefs de menottes et les retira rapidement. Et il n'y avait rien de mieux que d'être détaché de Miss Harper.

« Tu t'occupes d'elle, je vais ... »

Charlie voulait aller voir la scène où le coup de feu avait été tiré, seulement un de ses officiers, pas le jeunot, lui fit signe avec sa main que le suspect s'était suicidé et qu'il n'y avait pas de victime décédée. Et il lui balança son arme. Arme qu'il avait cru ne jamais revoir. Charlie la regarda sous toutes les coutures, découvrant que le suspect avait réussi à la bloquer en essayant de l'utiliser. Ce crétin n'avait pas enlever la sécurité avant d'essayer d’enclencher la cartouche.

« Ton poignet saigne, tu devrais essayer d'aller chopper un ambulancier dehors. »
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Charlie E. Harper

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyLun 11 Fév - 21:18

Charlie & Charlie
A entendre sa réflexion suite à mon constat sur l'immobilité de la porte, je compris qu'il était agacé par la remarque que je venais de lui faire. Ce n'était pas vraiment dans le but d'être désagréable ou de bien lui faire remarquer l'inefficacité de sa tentative de nous faire sortir de là, mais juste une simple confirmation de ce qu'il en était. Mais c'était la goutte d'eau faisant déborder le vase qui m'a value une hausse du ton de mon partenaire "de menottes". Là je réalisais que nous étions clairement comme chien et chat, inaptes à rester liés l'un à l'autre contre notre plein gré. C'était compréhensible après tout et le fait d'être enfermés dans cette pièce devenant étouffante à la longue ne faisait qu'empirer cette tension qui avait toujours existé entre nous.
Pour tout dire, je ne réfléchissais pas à cette relation particulière que nous avions, Charlie et moi. Autant nous arrivions à nous mettre d'accord sur certaines choses, unir notre bonne volonté et collaborer dans certaines circonstances, autant la minute d'après nous étions comme des aimants aux pôles opposés se repoussant à chaque fois quand ils étaient rapprochés. Les menottes pour ainsi dire ne nous convenaient pas à mon goût. Mais le coup de feu me fit rapidement penser à autre chose, et je me retrouvais à tambouriner à la porte quelques instants après. Je ne remarquais même pas, étant dos tourné au SWAT qu'il était plongé dans une réflexion, un trouble qui le tourmentait et qui le culpabilisait presque.
Etant donné que je m'avérais un peu bruyante sur le coup, je ne pris pas vraiment garde aux pas qui s'approchaient de l'autre côté et à peine j'entendis une voix masculine de l'autre côté annoncer qu'il allait enfoncer la porte, cette dernière s'ouvrit brutalement.
Fallait l'avouer, j'étais juste surprise et en même temps reconnaissante qu'à quelques secondes près, Charlie m'avait faite me décaler un peu avant que l'obstacle nous empêchant de sortir ne soit détruit. Et c'est sans attendre que le chef Swat s'en prit au jeunot de l'équipe qui n'avait pas suivi le processus habituel, impliquant une sécurité pour les autres. D'un autre côté, le séduisant trentenaire n'avait pas tord, j'aurais pu me faire mettre K.O par une porte à quelques courts instants près. J'eus bien l'impression qu'il vidait son sac, chose qu'il aurait pu faire à mon égard mais s'en était abstenu.
D'un regard sûr de moi et un air posé, j'observais donc le jeunot qui ne savait plus où se mettre après s'être fait remonté les bretelles par son supérieur, je confirmais par une simple expression sur mon visage, les paroles de McPreston. Mon attention étant portée sur la nouvelle recrue, une fois les remontrances du chef, je glissais un remerciement pour nous avoir enfin fait sortir de là. Du coup je n'avais pas pris garde aux regards que les collègues de Charlie portaient sur nous.... et les menottes. J'en connaissais certains, pour avoir été menée sur les lieux d'une mission en même temps qu'eux, d'autres non mais ils connaissaient sans que je sache, mon identité.
Au bout de quelques courtes minutes, comme je devais suivre le mouvement actif de mon voisin, nous allâmes chercher la clef de la libération.
Le son du déclic des menottes signifiant que nous étions détachés l'un de l'autre fut le bruit le plus appréciable de la journée. Mon poignet était un peu douloureux quand même mais être libre de mes mouvements, ça n'avait pas de prix.

J'avais remarqué qu'un collègue de McPreston annonça la mort du suspect qui venait de se suicider à l'entrée de l'université.
C'était un soulagement d'un côté et d'un autre, le devoir des autorités nationales étaient de protéger la vie de citoyens, et c'était un échec à notre égard, à nos mœurs, nos devoirs, les droits qu'on devait garantir aux habitants. Ceci avait évidemment une conséquence sur mon humeur car je ne pouvais être pleinement "heureuse" que ça se finisse comme ça. Puis même, il s'agissait d'un étudiant, déséquilibré certes, mais pas quelqu'un qui a l'âge de connaître la mort. Rien que pour son entourage l'épreuve douloureuse du deuil n'allait faire que commencer, puis pour les autres étudiants de l'université, une cellule d'aide psychologique serait certainement mise en place les semaines à venir dans l'établissement.
Je voulais moi aussi aller voir sur la place de l'université le "carnage", mais une nouvelle remarque du hawaïen me retint. Je regardais alors les blessures minimes que m'avaient faites les menottes, ça passerait certainement, je n'étais pas mourante non plus et la douleur était supportable... un peu de désinfectant, un peu de pommade, un petit bandage et ça serait fini.
" Je n'ai pas besoin d'un ambulancier, c'est rien ça...." je plongeais mon regard dans le sien qui semblait apaisé. " Alors, heureux d'avoir retrouvé ce qui t'appartiens ? " demandais-je alors au sujet de l'arme qu'il tenait de nouveau en main tout en enlevant enfin le gilet qu'il m'avait mise avant de le lui rendre. Il me répondit par l'affirmative, puis je le voyais bien à son sourire qu'il était content de l'avoir récupéré. Un de ses collègues, sous ses ordres, vint alors lui adresser la paroles une fois m'avoir salué en mentionnant mon nom. Il avait donc entendu parler de moi auparavant alors que je le rencontrais pour la première fois. Je souris donc puis m'éloigna alors en faisant signe à Charlie que je partais. Lui était occupé par son équipe qui avait du se débrouiller quelques temps sans leur leader donc ils devaient tenir au courant l'agent du Swat de ce qui s'était fait en son absence, rendre un rapport complet de la situation.

Une fois sortie du bâtiment, la lumière du soleil m'éblouissait presque, j'avais l'impression d'être restée des jours coincée dans cette pièce ! Qu'est-ce que ça faisait du bien d'enfin respirer l'air frais ! L'ambulance était toujours sur place et s'apprêtait à quitter les lieux, le corps du défunt avait déjà été embarqué, seule une flaque de sang séchait sur le bitume à quelques mètres de l'entrée de l'université. Je vint à parler à d'autres personnes des forces de l'ordre afin d'obtenir des détails sur les faits commis, sur les otages et potentielles victimes. Apparemment une étudiante avait été touchée mais les urgentistes avaient réussi à la stabiliser puis elle était déjà à l'hôpital le plus proche, normalement la situation étant sous contrôle, sa vie n'était pas en danger.

L'acte de suicide en soit était quand même des plus discutables, c'en était triste d'arriver à un tel point, de ne pas estimer que les difficultés qu'on surmonte peuvent être résolues par une alternative, la parole. S''enfermer dans son monde et se considérer comme éternel incompris était la chose à ne pas faire et en restant regarder cette tâche au sol, je me disais que j'aurais pu, moi aussi parler davantage avec ce garçon armé, déjà repérer plus tôt qui il était vraiment et insister sur la volonté de discuter pour le rassurer. J'avais failli à mon devoir quelque part ce qui me rendait peu fière.

Je poussais un soupir avant de reprendre mon vélo et de rentrer à l'appartement en faisant un détour par la pharmacie à côté de chez moi. Arrivée dans mon salon, je ne pus qu'être contente de cette quiétude, je ne voulais pas allumer la télé car il était fort probable que les infos et dernières nouvelles locales tournent autour de ce qu'on venait de "vivre", je crois qu'après tout ce que j'avais enduré ces derniers mois, il me fallait quelque chose de joyeux, de positif auquel songer.
Je m'attribuais les soins au poignet et juste en terminant d'enrouler un petit bandage autour, mes yeux se posèrent sur un magazine posé sur la table basse du salon, un magazine de voyage d'ailleurs. Il y avait un petit dossier spécial consacré à Rome ce qui avait du être la raison pour laquelle je l'avais pris. Finalement je l'avais, cette petite chose positive dans ma journée, j'allais rêver un peu ce qui me ferait le plus grand bien. Tous en lisant et découvrant des merveilles sur la magnifique capitale italienne, j'avais toutefois une pensée pour mon voisin, en réfléchissant bien, je me disais que ce n'avait pas été la pire des choses que d'être menottée à lui. C'est vrai au final, nous ne nous étions pas entre-tués, puis nous avions su réagir en conséquence. Cette capacité d'adaptation venait probablement de notre profession mais ça en faisait la seule personne avec qui, j'estimais que, dans une pareille situation j'ai pas détesté être liée. Moi-même j'avais du mal à me comprendre parfois. Avant que mon esprit ne divague davantage ou que je rumine encore la journée, je me concentrais sur l'article portant sur la fontaine de Trévi, ce lieu me paraissait vraiment magique.
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Charlie McPreston

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Work, always work !
potins : 1025
âge : 42 ans
statut civil : Happy hubby <3
quartier : Kingston Grove
profession : Agent du Swat
pseudonyme : Emilie
célébrité : Alex O'Loughlin
copyright : Tumblr Grasshopper James d'amour

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyMar 12 Fév - 14:09

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Et les voila. Ils étaient enfin dehors, dans ce couloir empli de mauvais souvenirs, au milieu de ses hommes... Charlie les regarda et put voir ce qu'ils avaient tous en tête. Ce qu'ils avaient, mais qu'ils n'osaient pas dire face à la mauvaise humeur de leur commandant. Ils n'en pensaient pas moins. Ils avaient tous remarquer l'intérêt de leur chef pour la brunette et les voir aujourd'hui menotté ensemble dans une petite pièce comme ça... Ça pouvait laisser sous entendre tout un tas d'histoire. De toute façon, ils furent obligé de rester très concentré, car Charlie voulait tout savoir sur ce qu'il s'était passé pendant qu'il était sur la touche. Et ses hommes prirent soin de lui raconter les grandes lignes en présence de la jeune femme. Comme s'il voulait l'épargner alors qu'elle devait avoir déjà vu bien pire. Mais ils étaient comme ça dans son équipe. Protéger les gens de l'extérieur. Avant. Pendant. Après. Le chef de brigade fit pat à la belle brunette de sa blessure au poignet, mais elle minimisa avant de lui rendre son gilet pare balle. Il réceptionna et se mit à sourire sincèrement lorsqu'elle lui parla de son arme. Il était heureux. Oui. C'était tout aussi simple que ça. Cette mission, bien qu'il ai perdu le contrôle, s'était bien déroulée. Il n'y avait eu qu'un décès, celui du preneur d'otage, les victimes collatérales étaient toutes prises en charge, d'un point de vue médical comme psychologique. Il allait peut être devoir passer des heures ici pour organiser les suites, mais il était rassuré. Il pouvait être fier de l'équipe avec qui il travaillait tous les jours. Et ce fut sur ce constat qu'il vit partir Charlie.
Le jeune homme retrouva une radio et prit en charge les opérations. Il regroupa son équipe et c'est ensemble qu'ils partirent quadriller l'université, notant leurs positions, celles des victimes et du suspect, les douilles et les balles, même les impacts et les différents objets qui n'avaient pas de sens à leurs places. C'était un travail long et pénible, mais il fallait le faire. McPreston préférait l'enchainer après la mission pour n'oublier aucun détail, mais surtout en être débarassé. Il n'était pas un amoureux de la paperasse. Qui l'était ? Dans son équipe personne.
L'équipe du Swat sortit du bâtiment et retourna près de leur camion où les attendait une étudiante. Fin les, elle attendait Charlie et avait une photo pour elle. Pour la jeune femme qui l'accompagnait un peu plus tôt en fait. Charlie Harper. La jeune fille les avait vu ensemble et avait pensé que le policier pourrait essayer de la retrouver pour elle. Si elle savait... Mais Charlie n'en dit rien et prit la photo avant de se retourner vers le camion. Ses hommes le regardaient avec des sourires qui en disaient longs, et ça l'énervait. Il n'aurait jamais du leur en parler. C'était ça de se confier au sein d'un grand groupe d'enfant. Car ils étaient tous pareils. De grands gamins incapables d'établir des relations sérieuses avec des femmes. Aucun d'entre eux n'étaient mariés. Même pas l'unique femme qu'ils aimaient tous taquiner. Et ce n'était pas encore ce soir qu'ils trouveraient l'âme sœur, parce qu'il les invita tous à venir boire un verre pour célébrer. La fin de cette prise d'otage, mais surtout de l'avoir sorti de ce débarras.

« Je passe prendre les boissons, vous me rejoignez chez moi. »

Le grand brun regarda tous son équipe acquiescer, mais alors qu'il allait vers sa voiture, il vit que son sous officier le suivait. Ils étaient potes alors il lui fit pas de coup à la kung fu panda, mais il le regarda quand même avec des questions dans les yeux.

« Je n'ai pas besoin de baby sitter. »

Son ami rigola et ignora la remarque, s'installant quand même côté passager. Les deux hommes étaient un peu comme des frères. Des frères d'armes. Et même s'il n'avait pas besoin de baby sitter, il aimait la compagnie. Charlie se mit donc à parler, de tout de rien, de la mission du jour et de sa voisine, de la nouvelle 'copine' de son collègue. Ce fut vaste malgré qu'il n'ai eu besoin que de dix minutes pour atteindre la petite supérette qui se trouvait près de chez lui. Les deux hommes s'y rendirent et dévalisèrent le rayon bière, prirent quelques paquets de chips et Charlie ne put résister à acheter des ananas... Ce fut vraiment rapide, et pourtant, lorsqu'ils arrivèrent devant son bâtiment, il reconnut les voitures de ses collègues. Toujours plus rapide que Flash lorsqu'il s'agissait de bière ceux là ! Le grand brun prit quand même son temps, allant chercher son arme, les bières et la photo que l'étudiante lui avait donné un peu plus tôt avant de se diriger vers chez lui avec son ami. Sa porte était ouverte, signe qu'ils avaient du trouver sa clef qui était cachée sur le palier au cas où, d'ailleurs il y avait quelqu'un d'autre sur le palier. Miss Harper. Elle semblait perdu et il la glissa sous son bras à côté de son arme avant d'aller déposer la photo devant la porte de la jolie brunette. Sauf que son crétin d'ami toqua avant que Charlie ne puisse le récupérer. Par l'oreille. Il le tira jusqu'à l'intérieur de son loft avant de le lâcher.

« Tu voudrais pas arrêter un peu de l'emmerder ? Elle a eu une sale journée comme nous tous. »

L'agent du Swat alla vers son salon où il retrouva tous les gamins de son équipe qui sourirent plus grand qu'ils ne le pouvaient en voyant les bières. Il leur laissa et partit ranger son fusil quelque part en sécurité. Pour lui et pour les autres. Avant de faire un petit nid pour Miss Harper. Elle dormait toujours sur le pull en cachemire de sa voisine, elle refusait de le quitter, mais il fallait quand même, tous les jours, le remette en place comme elle aimait. Pas autrement, sinon elle miaulait toute la nuit et c'était juste insupportable. Le jeune homme retourna vite auprès de ses collègues pour boire un verre et se détendre et ça fonctionna. Il rigola et s'amusa pendant quelques heures, oubliant son métier et sa journée. La prochaine fois qu'il mettrait des menottes à sa voisine, ce ne serait plus dans le même contexte. Il espérait.
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Charlie E. Harper

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potins : 1817
âge : 36 ans
statut civil : Mariée depuis le 6 Aout 2016 !
quartier : Kingston Grove
profession : Lieutenant de Police (Crim')
pseudonyme : Porcupine.
célébrité : Stana Katic
double compte : Non
copyright : stanakaticland. stanakaticbrasil. castlelounge. stana-katicfans. stana-for-always. drstanakatic. for-lovers-only. alwayswiththecoffee. katicisms. castlelover47. stanacatik. motley control. Phantasmagoria. RIDDLE. stanakaticdaily. eileen-kath-madley. Hotmess

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MessageSujet: Re: On a sunday morning... #intriguen°2   On a sunday morning... #intriguen°2 EmptyMer 13 Fév - 18:33

Charlie & Charlie
Je rêvais en feuilletant ce magazine. Les photos de professionnels, y'avait pas à dire, ça réveillait l'authenticité de la ville, l'architecture, les placettes .. tout semblait attractif à propos de Rome. Au bout d'un moment, je redescendis quand même sur terre lorsque mon estomac gargouillait. Ne me sentant pas de faire à manger ce soir, comme la plupart du temps je décidais de commander chez un traiteur vietnamien. Une fois la commande de livraison passée, je décidais de me prendre un bon bain pour me détendre après une journée pareille. Bien sûr j'évitais de mettre le bandage de mon poignet au contact de l'eau.
Une bougie allumée, lumière de la salle de bain tamisée, je glissais délicatement dans ma baignoire en sentant des frissons au contact de l'eau brûlante. Je fermais les yeux et savourait cet instant de bien-être. Tellement que je n'entendis même pas les frappes sur ma porte.
Ce n'est qu'une fois que l'eau était devenue trop froide que je sortis alors, m'enveloppait dans une serviette puis me mis à l'aise en passant une nuisette et robe de chambre en soie d'un beau bleu roi.

La synchronisation était parfaite car on sonna à ma porte. Le livreur était là et en même temps que de me donner ma commande, il me tendis une photo qui était sur le paillasson. Je fut premièrement surprise puis en la regardant bien je souris. Avec les événements qui s'étaient produits aujourd'hui, j'avais été distraite par autre chose. L'homme m'indiquait qu'elle se trouvait déjà au sol quand il était arrivé et me souhaita une bonne soirée et un excellent appétit avant de disparaître dans les escaliers. Tenant la photo d'une main, le sachet de nourriture de l'autre je restais la regarder. Cette superbe photo de St Petersburg...Lucy-Rose avait vraiment un talent. De la musique -certes pas aussi forte qu'à l'habituelle- se faisait entendre de l'autre côté de la porte d'en face, puis je fis le rapprochement, ça ne pouvait être que Charlie qui m'avait ramené la photo ! Je devais quand même le remercier non ? Un peu hésitante, je restait immobile à regarder sa porte puis fit quelques pas jusqu'à cette dernière. Les voix de personnes étaient audibles au dessus du volume de la musique et je compris qu'il n'était pas seul. Visiblement avec pas mal d'amis même.... Je m'apprêtais presque à toquer à sa porte mais me retint. J'entendais des rire, l'ambiance était conviviale de l'autre côté c'était certain. Je ne souhaitais par conséquent pas le déranger puis, il m'avait suffisamment vue voire même supportée pour la journée. Je renonçai alors à me manifester et rentrais de nouveau chez moi.
Fin
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